Nous privilégions des cuirs issus de tanneries européennes certifiées, travaillant avec des procédés respectueux de l’environnement. Notre production artisanale limite les déchetset valorise la main de l’homme.
Entretien et restauration à vie de vos pièces en cuir
Chaque pièce de la collection haute maroquinerie par Les Échiquiers du Roi bénéficie d’un accompagnement à vie : nos ateliers assurent la réparation, l’entretien et la restauration de chaque pièce, aussi longtemps que vous la possédez.
D'éventuelles réparations dues à un défaut de fabrication sont intégralement prises en charge, incluant les frais d’expédition et de restauration.
Pour toute autre intervention, notre service de réparation à vie reste à votre disposition — un devis personnalisé vous sera adressé sur simple demande, après envoi de quelques photos de votre pièce.
Chaque sac est confié à l’artisan même qui l’a façonné, garantissant une restauration fidèle, dans le respect de la matière et du geste d’origine.
Nous proposons également, sur devis, un service d’entretien régulier afin de préserver la souplesse, la teinte et la patine du cuir au fil des années.
DANS L'ATELIER
UNE expérience immersive signée Les échiquiers du Roi
Découvrez un processus de création unique
Une fabrication 100 % artisanale
Pensés pour durer, nos sacs traversent le temps avec élégance. Chaque couture, chaque tranchage de cuir témoigne d’une exigence de durabilité. Découvrez chaque étape de leur fabrication.
La sélection du cuir
L’artisan sélectionne un cuir pleine fleur, sans défaut, choisi pour sa texture, sa souplesse et son odeur caractéristique : il détermine ainsi la beauté et la durabilité du sac.
La découpe
Le cuir est ensuite découpé à la main, selon des gabarits précis. Chaque trait doit être juste, car une erreur de quelques millimètres suffit à compromettre l’équilibre de la pièce. La découpe exige un œil exercé et une concentration absolue.
Le travail de mise en forme
Avant l’assemblage, le cuir est martelé à la main pour lui donner sa forme définitive. Ces gestes permettent de créer des plis naturels et harmonieux. C’est un savoir-faire rare, qui apporte au cuir son relief et son caractère.
La fixation des éléments métalliques
Les boucles, rivets, fermetures et anneaux sont posés un à un. Chaque pièce métallique est ajustée avec précision, à l’aide de petits marteaux, pour garantir une fixation solide sans altérer la finesse du cuir. Le contraste entre le métal poli et la matière naturelle souligne l’élégance de l’ensemble.
L’assemblage et la couture
Les différentes parties du sac sont ensuite assemblées par couture manuelle ou à la machine, selon les zones de tension. Les points doivent être réguliers, fermes et parfaitement alignés. C’est ici que l’on reconnaît la signature du véritable artisan.
La gravure du logo
En dernière étape, le logo Les Échiquiers du Roi est gravé au laser. Ce marquage discret et définitif signe l’authenticité et la qualité du produit.
Un contrôle qualité rigoureux
Avant de quitter l’atelier, chaque sac est inspecté à la main. L’artisan vérifie les coutures, la régularité du grain, la solidité des anses et de chaque couture, ainsi que la clarté de la gravure. Rien n’est laissé au hasard : chaque pièce doit incarner la perfection du travail artisanal de la maison pour devenir une de nos pièces signature.
La sélection du cuir
L’artisan sélectionne un cuir pleine fleur, sans défaut, choisi pour sa texture, sa souplesse et son odeur caractéristique : il détermine ainsi la beauté et la durabilité du sac.
La découpe
Le cuir est ensuite découpé à la main, selon des gabarits précis. Chaque trait doit être juste, car une erreur de quelques millimètres suffit à compromettre l’équilibre de la pièce. La découpe exige un œil exercé et une concentration absolue.
Le travail de mise en forme
Avant l’assemblage, le cuir est martelé à la main pour lui donner sa forme définitive. Ces gestes permettent de créer des plis naturels et harmonieux. C’est un savoir-faire rare, qui apporte au cuir son relief et son caractère.
La fixation des éléments métalliques
Les boucles, rivets, fermetures et anneaux sont posés un à un. Chaque pièce métallique est ajustée avec précision, à l’aide de petits marteaux, pour garantir une fixation solide sans altérer la finesse du cuir. Le contraste entre le métal poli et la matière naturelle souligne l’élégance de l’ensemble.
L’assemblage et la couture
Les différentes parties du sac sont ensuite assemblées par couture manuelle ou à la machine, selon les zones de tension. Les points doivent être réguliers, fermes et parfaitement alignés. C’est ici que l’on reconnaît la signature du véritable artisan.
La gravure du logo
En dernière étape, le logo Les Échiquiers du Roi est gravé au laser. Ce marquage discret et définitif signe l’authenticité et la qualité du produit.
Un contrôle qualité rigoureux
Avant de quitter l’atelier, chaque sac est inspecté à la main. L’artisan vérifie les coutures, la régularité du grain, la solidité des anses et de chaque couture, ainsi que la clarté de la gravure. Rien n’est laissé au hasard : chaque pièce doit incarner la perfection du travail artisanal de la maison pour devenir une de nos pièces signature.
L’artisanat d’exception, notre signature.
1. Le martelage à froid : Une technique exigeante, presque disparue
Avant l’assemblage, le cuir est martelé à la main pour lui donner sa forme définitive. Ces gestes — précis, mesurés — permettent de créer des plis naturels et harmonieux.
Cette technique, aujourd’hui peu pratiquée, exige une véritable maîtrise du cuir et confère à chaque pièce un relief unique et vivant.
Les détails, essence de la belle facture.
🔸 La mise en forme du cuir
Dans la plupart des ateliers, le cuir est aujourd’hui façonné à l’aide de moules mécaniques ou de presses chauffantes. C’est rapide et précis, mais cela standardise la matière : les plis deviennent uniformes, le cuir perd un peu de son caractère.
🔸 Le geste artisanal
Chez certains artisans, le cuir est encore modelé à la main, au maillet en bois ou en caoutchouc.
Chaque frappe, lente et mesurée, assouplit la peau et crée des plis naturels.
C’est une technique exigeante, fondée sur l’expérience et la sensibilité du geste.
🔸 Un savoir-faire rare
Ce travail manuel n’est presque plus pratiqué : il demande du temps et une véritable connaissance du cuir.
C’est pourtant lui qui donne à chaque sac sa souplesse vivante et son relief unique, impossibles à obtenir par la machine.
2. Une couture tendue, sans compromis : le geste du sellier
Chaque bord est paré puis retourné à la main avant d’être cousu.
Cette opération demande une grande maîtrise : le cuir est affiné sur quelques millimètres pour supprimer les surépaisseurs, puis replié avec soin et piqué à la machine à cuir selon une densité d’environ 6 à 7 points par centimètre.
Ce geste garantit une ligne tendue, sans irrégularité, et un bord qui conserve sa souplesse naturelle tout en restant parfaitement net.
Chaque sac est assemblé sur une machine Singer d’atelier, réglée à la main par l’artisan. Ce point sellier mécanique, dense et régulier, assure une couture à la fois souple et indéformable — un geste rare, hérité des anciennes manufactures de cuir.
Les coutures sont l’un des signes les plus discrets, mais aussi les plus parlants, d’un travail véritablement artisanal.
Les détails, essence de la belle facture.
🔸 Chaque bord est paré puis retourné, une couture préc
Dans la plupart des productions contemporaines — même dites “artisanales” —, le bord n’est ni paré ni retourné.
Le cuir est simplement coupé net, puis recouvert d’une teinture de tranche ou d’une colle de finition pour masquer la coupe.
Ce procédé, plus rapide et facile à reproduire, donne un aspect propre au premier regard, mais le bord reste plus rigide, plus vulnérable aux frottements et peut se fendre avec le temps. La plupart des ateliers cousent désormais avec des machines industrielles automatisées à tension préréglée : c’est rapide, mais moins adaptable à chaque cuir, donc des coutures plus rigides et souvent moins durables.
🔸 Le geste artisanal
À l’inverse, un bord paré et retourné garde sa souplesse et sa résistance naturelle, et vieillit harmonieusement. Des coutures adaptées à chaque pièce de cuir permettent une durabilité incomparable.
3. Les renforts invisibles ET LA POSE MANUELLE : la solidité cachée
Sous la surface lisse du cuir, chaque sac est consolidé par des bandes tissées placées dans les zones de tension : poignées, attaches de bandoulière, bords d’ouverture.
Ces renforts, découpés et collés à la main, stabilisent le cuir sans l’alourdir.
C’est un travail de fond, invisible à l’œil nu, mais essentiel pour que la pièce garde sa forme et sa tenue au fil des années. Un détail indispensable pour des sacs appelés à porter des jeux d’échecs lourds avec fiabilité. Quant à la pose manuelle des pièces métalliques, elle préserve les fibres du cuir et évite leur écrasement, assurant ainsi une fixation plus solide et durable.
Ce soin discret traduit la philosophie de notre atelier : concevoir des objets beaux, mais surtout durables.
Les détails, essence de la belle facture.
🔸 Nos sacs sont pensés pour durer : des renforts aux coutures
Dans la plupart des fabrications industrielles ou semi-artisanales, le renfort est supprimé ou remplacé par une simple double épaisseur de cuir ou de toile synthétique.
Cela est bien plus rapide à produire, mais aussi bien moins résistant : le cuir finit par se détendre, se déformer ou tirer sur les coutures. Quant aux pièces métalliques, la plupart des ateliers les posent à la presse mécanique — un procédé rapide mais uniforme, qui écrase souvent le cuir et peut, à terme, fragiliser les zones de fixation.
🔸 Le geste artisanal
Les bandes tissées utilisées dans nos ateliers — similaires à celles employées en sellerie — assurent une résistance mécanique bien supérieure, tout en préservant la souplesse naturelle du cuir.
Chaque bouton-pression est incrusté à la main dans le cuir, à l’aide d’un chasse et d’un maillet.
Le geste doit être ferme mais contrôlé : un coup trop fort abîmerait la peau, un coup trop léger compromettrait la fixation.
Cette pose à la main garantit un alignement parfait et une résistance durable, sans marquer la surface du cuir.
Un savoir-faire minutieux, que peu d’ateliers pratiquent encore.